Issoire, le projet de décoration de ville
L’arrivée du critérium du Dauphiné libéré dans la ville d’Issoire a été l’un des éléments déclencheurs de ce beau projet de décoration de ville à la fois artistique, culturel et sportif. Porté par le maire Bertrand Barraud et son équipe municipale, il a pour vocation d’embellir les abords de la ville et d’illustrer le dynamisme de la commune auprès des Issoiriens et de ses nombreux visiteurs.
Ce projet d’embellissement urbain comprenait initialement 4 œuvres originales reproduites sur dibond afin de les exposer durablement en intra-muros.
L’emplacement choisi se situe au croisement de 2 des axes principaux de la ville, l’avenue Pierre Mendès France et l’avenue Kennedy, un passage quasi-obligé pour accéder à Issoire par le nord en longeant le mur du stade Albert Buisson.
A travers mes peintures, Bertrand Barraud, maire de la ville Issoire, commune de 14 600 habitants, a souhaité identifier les événements majeurs de la ville.
Un grand merci à toute l’équipe de la mairie d’Issoire pour sa confiance dans la concrétisation de ce très beau projet artistique.
Le dynamisme d'Issoire en peinture
L'installation des reproductions sur le mur Albert Buisson
Les tableaux
Festival Ailes et Volcans
Les moteurs démarrent à l’unisson dans un vacarme assourdissant. Munis de leur casque, les techniciens ajustent quelques réglages avant le décollage. L’un derrière l’autre, les avions de patrouille de France, s’élancent sur la piste pour rejoindre Issoire. Le ballet va bientôt débuter. Un vrombissement lointain trahit l’arrivée de la Patrouille. Lunettes de soleil, mains en visière tournée vers le ciel, le public scrute le ciel à la recherche d’un indice. En escadrille, elle survole l’aérodrome d’Issoire.
Un festival de voltige aérien débute avec un panache tricolore libéré par les alphajets fendant le ciel à toute allure.
Issoire, là où l’homme et la machine rencontrent le ciel.
Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve.
Crédit photo : Lucie LLONG
La Trans'Yssoirienne
Le départ est donné, les voitures ont abandonné l’espace pour laisser place aux coureurs de cette nouvelle édition de la Trans’Yssoirienne et ses 28 obstacles. Civils et militaires courent côte à côte à l’approche des 1ers obstacles. Des pneus de poids lourds recouvrent le bitume, impossible de les éviter. Sauter d’un pneu à l’autre, marcher dessus, chacun choisira sa technique avant de rejoindre le bout du monde.
Face aux coureurs, une épreuve de taille, peut-être la plus emblématique de cette course, 3 conteneurs barrent la route des participants. Si certains s’envolent rapidement au-dessus de ces géants de fer, d’autres moins habiles ont besoin de soutien. Une belle chaîne de solidarité s’organise spontanément pour permettre à chacun de franchir ces obstacles et de continuer la course. A la force des bras ou des jambes, les participants passent cette épreuve avant de franchir la Couze et une éprouvante montée sur une échelle de corde.
Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin
La trans’Yssoirienne est une course d’obstacles organisée par le 28ème régiment de Transmission d’Issoire et la municipalité. Elle a lieu tous les ans au mois d’avril. Plus de renseignements sur le site de la Trans’Yssoirienne. Un excellent moment sportif à partager dans la bonne humeur.
Crédit photo : Ville d’Issoire
Un cadeau pour le Colonel Ferrer ....
Le 30 juin 2021 : Après 2 années passées à Issoire, le Colonel Frédéric Ferrer quitte le 28ème régiment de transmission pour rejoindre sa nouvelle affectation parisienne sous le regard du Général Roland, l’un de ses prédécesseurs .
La municipalité d’Issoire et le Maire Bertrand Barraud ont offert le tableau « Aider pour avancer » au Colonel Ferrer afin de le remercier pour son dévouement et son soutien à la commune.
... exposé au musée du 28ème Régiment de transmission
Ce tableau est venu compléter la collection d’œuvres d’art et d’objets réunis par les différents états majors ayant officié à Issoire. Il retrouvera notamment les tableaux que j’ai réalisé pour le Général Rolland intitulé « 28ème RT » et celui réalisé pour le Colonel Didot intitulé « Daguet ».
Le critérium du Dauphiné Libéré
Aucun spectacle ne saurait être comparé à celui que le Tour de France offre chaque été aux populations de nos belles provinces. Le Tour de France c'est une croisade, un pélerinage, un enseignement, un exemple.
Le critérium du Dauphiné Libéré
Les vélos sont de sortie ce 30 mai 2021 pour cette 1ère étape du critérium du Dauphiné Libéré édition 2021 sous le soleil printanier d’Auvergne.
Dans une boucle d’environ 180 km, les stars de peloton s’affrontent sur les routes en préparation du Tour de France. Échappé depuis 15 kilomètres, Brent Van Moer s’engage sur l’avenue Pierre Mendès France à 3 km de l’arrivée. Il s’élève sur ses pédales pour une ultime accélération en danseuse. Pas question de lâcher, un regard vers l’arrière, il aborde sereinement cette dernière montée et l’ultime virage au croisement de l’avenue Kennedy, le peloton est distancé. Face à lui, les 4 tableaux réalisés reproduits sur dibond et notamment « Honneur et ferveur », spécialement créé à l’occasion du critérium.
Il franchit la ligne d’arrivée les bras levés vers le ciel sous les applaudissement du public. Une première victoire professionnelle pour ce jeune cycliste de 23 ans sous les yeux de Bernard Thévenet, le directeur de la course. Il portera demain le maillot jaune, le 1er de sa carrière.
Derrière lui, le peloton approche, les sprinters accélèrent et jouent des coudes dans les derniers mètres pour libérer l’espace et franchir la ligne. Toujours un spectacle fabuleux…en attendant le retour du Tour de France à Issoire.
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Le challenge Auvergne
Tous au ballon ! celui qui court vite, c'est le plus fort. Des crevettes avec des chaussettes trop grandes, des shorts où t'en mets 2 dedans, des maillots flottants, le casque et le protège-dents.... Et les crampons. La première paire. Celle qui compte et que les puristes gardent toute leur vie dans un carton à chaussures.
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Date incontournable dans la préparation de la saison de L’ASM, le challenge Auvergne accueille depuis 2005 des équipes professionnelles de rugby en terre Arverne. Le LOU, la section Paloise, l’équipe nationale du Canada, Oyonnax, Castres, Brive ou encore la province irlandaise du Connach ont recontré l’ASM à Issoire à cette occasion.
Si depuis 2005, l’USI (Union sportive Issoirienne) organise cet événement dans son mythique Stade Jacques Lavédrine, le club s’est aussi structuré et développé autour de cette proximité avec les locataires du Stade Michelin. La réussite d’un club passe inlassablement par la détection et l’accompagnement vers le haut-niveau. Si l’ASM fait réver les jeunes auvergnats, c’est dans les écoles de rugby du territoire que les jeunes pousses réalisent leurs 1ères gammes et où germent les vocations. Ils y développent la passion du rugby avant tout, le plaisir de jouer et le sens du partage avant d’espérer viser plus haut. Pour un joueur de rugby auvergnat, l’ASM est le Graal, un club porté par un indéfectible public, un club qui fait pleurer, pleurer de joie, pleurer de chagrin tant son histoire est tourmentée dans sa quête du Brennus.
Pendant ce temps, l’USI a assuré son rôle de club formateur sans sourciller, permettant à de jeunes joueurs d’atteindre le haut-niveau (Romain Martial, Christophe Samson ou Alexandre Fisher) . Depuis 2019, l’USI a franchi un cap et atteint pour la 1ère fois la féderale 1 après un titre vaillamment acquis de Champion de France. L’effectif du club se compose de joueurs issus de la formation du club, d’autres sont d’anciens espoirs de l’ASM et quelques recrues réunis autour d’un projet et d’une idée du rugby. Comme le jaune et bleu, le mauve et le noir a su gagner sa place dans le cœur des amateurs de rugby et une rencontre ASM – USI, les 2 meilleures équipes du Puy-de-Dôme, s’inscrit quelque part comme une rencontre au sommet, l’ovale idéal qui sera peut-être, qui sait, l’affiche d’un prochain Challenge Auvergne.
1er concours interdépartemental de la vache Salers
Rien n'est meilleur que l'agriculture, rien n'est plus beau, rien n'est plus digne d'un homme libre. Elle suffit amplement aux besoins de notre vie.
1er concours interdépartemental de la vache Salers
Le 28 août 2021, la ville d’Issoire accueille les éleveurs de vaches Salers venus de 5 départements. L’élevage, une des filières porte-drapeau de l’excellence agricole française, est un métier de passion, de sacrifice qu’une trentaine d’agriculteurs sont venus partager avec le public.
Accessibles et disponibles, ils ont présenté leur métier passionnant et leurs plus beaux représentants de la mythique race Salers, une vache rustique et solide produisant peu de lait mais d’une excellente qualité nutritive et gustative. Cette vache couleur acajou au pelage épais se distingue par ses belles et grandes cornes et son caractère bien trempé. Elle est totalement adaptée aux climats montagnards.
Le concept d'une ville à la campagne
Le point de départ de cette œuvre fut la complémentarité entre l’urbain et le rural, trop souvent opposés. Le travail de composition, essentiel à la restitution, devait renforcer la situation géographique d’Issoire, une ville de taille moyenne au cœur de la ruralité. Un pari réussi avec cette œuvre « Une ville à la campagne ».
Crédit vidéo : Guy Gatignol
Un trophée artistique pour le vainqueur
Après une journée de compétition pour choisir les plus belles vaches Salers, le vainqueur Frédéric Chabrillat s’est vu remettre des mains de Sandra Peteilh, 1ère adjointe à Issoire, le tableau « Une ville à la campagne ».
Merci à la Municipalité d’Issoire, le syndicat des éleveurs Salers du Puy-de-Dôme et l’USI Football pour cette belle organisation et leur confiance.
Crédit photos : Mairie d’Issoire
Installation de la reproduction du tableau
Crédit photos : Mairie d’Issoire