Depuis quelques mois, je ressens le frémissement d’un événement qui nous dépasse, quelque chose dont nous avons tous entendu parler, que nous avons vu à la télévision et qui s’apprête à arriver dans notre pays : les Jeux olympiques. Bien sûr, il s’agit d’une compétition sportive, mais l’écho de cet événement va bien au-delà du sport, en laissant derrière lui un héritage immatériel considérable.
Cet héritage repose sur les souvenirs que nous avons accumulés, que ce soit devant notre téléviseur ou dans une arène, en assistant à des rencontres marquées par la ténacité des athlètes qui se donnent à fond pour exceller. Il inclut les vainqueurs radieux, les perdants déçus, les gentils, les méchants – tout ce qui constitue l’écosystème du sport. Mais cet héritage dépasse largement les médailles et les exploits individuels. Il s’ancre dans un message puissant : le sport est bénéfique pour la santé et sa pratique contribue à une société plus saine, plus équitable et plus respectueuse.
Bien sûr, tout n’est pas parfait, mais le sport reste un vecteur essentiel de valeurs comme le respect et la solidarité, des valeurs que de nombreux éducateurs s’efforcent de transmettre aux enfants dans les écoles de sport partout sur le territoire. Je suis convaincue que si tous les enfants faisaient du sport, le monde serait bien plus simple.
Ça y est, nous y sommes. Depuis 2018, je me prépare pour cet événement afin d’être prête le jour J. Des heures de travail à répéter mes gammes, à peaufiner ma technique, à tester de nouveaux sports, à pratiquer inlassablement pour être au rendez-vous. Pour moi, en tant qu’artiste peintre, ma préparation a été à la hauteur de celle d’un athlète de haut niveau.
Cet événement majeur représente le summum et la consécration pour tous ceux qui œuvrent dans l’écosystème du sport. Pourquoi ? Parce que les Jeux olympiques sont une compétition à part, où tous les sports et tous les peuples du monde se rencontrent. Ils incarnent l’idéal de l’universalité, portés par des valeurs de paix, de respect et de dépassement de soi – des notions qui étaient l’objectif de vie du baron Pierre de Coubertin. Sa devise « Citius, Altius, Fortius » (plus vite, plus haut, plus fort), à laquelle s’est ajouté « Communiter » (ensemble), en est la preuve.
Que la fête commence… une fête qui est certes sportive, mais aussi culturelle et artistique. J’ai l’immense honneur d’y être associée en tant qu’artiste du sport, à travers différents projets partout en France. Après 20 ans à explorer le sport, avec plus de 120 disciplines représentées – hommes, femmes et handisport inclus – me voilà prête pour PARIS 2024.
Etape 1 : L'espace Art et liberté de Charenton-le-Pont
Si les Jeux de Paris 2024 commencent officiellement avec le départ de la flamme olympique d’Olympie, 100 jours avant la cérémonie d’ouverture, pour ma part, ce lancement a eu lieu dans la charmante ville de Charenton-le-Pont, en banlieue parisienne, avec une exposition exceptionnelle composée de trois parties :
L’exposition regroupe les œuvres des plus grands photographes de sport issues de la collection Jean-Denis Walter. Certaines de ces photos sont tout simplement iconiques. Je pense notamment à l’image de Mohamed Ali venant de mettre Joe Frazier KO et le défiant du regard, à la course légendaire de Carl Lewis, au poing levé de Carlos et Smith à Mexico, ou encore aux photos du reportage Les Yeux dans les Bleus, qui a suivi l’équipe de France de football en 1998 sur le chemin de son sacre. Un reportage dans l’intimité de cette équipe, devenue à jamais la première.
La deuxième partie de l’exposition se compose d’un mini-musée olympique, présentant des objets ayant appartenu à des athlètes olympiques. À ces objets sont associées les valeurs incarnées par ces sportifs, portées par l’association 24 pour tous et tous pour un, qui, au cours des six dernières années, a mené des actions auprès des enfants pour leur permettre de toucher du doigt le rêve olympique.
Pour terminer, une exposition de peinture et de sculpture réunit plusieurs artistes travaillant dans l’écosystème du sport, dont j’ai eu le plaisir de faire partie. Parmi ces artistes, je pense notamment à Vincent Dogna, qui œuvre depuis des années dans l’univers de la course à pied. Ses œuvres, tout comme les miennes, célèbrent le mouvement, l’effort, et la passion qui animent les sportifs de toutes disciplines.
Au-delà de l’exposition, ce fut également l’occasion de revoir Eva Serrano, Samir Azzimani et de rencontrer en personne Aladji Ba, trois athlètes olympiques que j’ai eu le plaisir d’interviewer.
Etape 2 & 3 : D'Aubière à Issoire, 2 expositions individuelles en mouvement
Retour dans le Puy-de-Dôme pour deux nouvelles étapes olympiques, avec, dans un premier temps, une exposition au Carré des Arts d’Aubière intitulée « Geste Sportif et Peinture », et une autre à la médiathèque d’Issoire sur la même thématique. Quel plaisir de vous retrouver tous, amis, élèves, famille, et amateurs d’art, pour partager ces moments conviviaux.
Un grand merci à la municipalité d’Aubière et à son maire Sylvain Casildas pour l’invitation, ainsi que pour ses mots touchants lors du vernissage, qui m’ont profondément émue.
Un autre merci à Marie Domas, directrice de la médiathèque d’Issoire, pour l’organisation de cette seconde exposition en musique avec Geneviève Sauvadet du groupe Lodge, et à Bertrand Barraud, maire d’Issoire, pour m’avoir fait l’honneur de sa présence. Je connais tout son engagement en faveur du sport.
Vous pourrez retrouver ces moments en images ci-après.
Le sport et l’art sont intimement liés, et je ne serai certainement pas celle qui vous dira le contraire. Alors, en cette période de Jeux, quoi de mieux que de permettre à des établissements scolaires de découvrir ce lien ?
Le sport et l’art sont des sources d’épanouissement.
Le sport et l’art sont des vecteurs de confiance en soi.
Le sport et l’art stimulent le corps et l’esprit.
Il est donc tout naturel de sensibiliser les jeunes à la diversité des sports et à la diversité dans le sport. Crayons en main, les enfants se sont amusés à reproduire certains de mes tableaux pour comprendre le mouvement. Avec une trentaine de tableaux présentés, chacun a pu choisir le sport qui lui parlait le plus. Certains ont même fait le choix de peindre en jaune et bleu, les couleurs d’une « petite » équipe de rugby locale 😂.
Mon sport favori en dessin d’après Lucie LLONG
Etape 4 : Retour à Paris et puis s'en va
Nouvelle étape avec le lancement d’une exposition collective sur le sport au musée Landowski de Boulogne-Billancourt, où j’ai le plaisir d’exposer quatre tableaux. Cette exposition a été organisée par Éric Frommweiler de l’agence de communication Acapulco, qui renouvelle l’expérience après celle organisée à l’occasion de la Coupe du Monde de 2023. La marraine de l’exposition, que je connais bien, est Diane de Navacelle de Coubertin, avec qui j’ai eu l’occasion de collaborer lors d’un projet vidéo il y a quelques semaines. Véritable ambassadrice de l’olympisme, et arrière-petite-nièce du baron Pierre de Coubertin, elle œuvre aujourd’hui à prolonger son héritage auprès du CIO et de tous ceux qui croient en ces valeurs d’universalité, de respect, de solidarité et de paix.

Étape 5 : La flamme s'invite dans la cité royale de Blois.
J’ai eu le plaisir d’être invitée par le département à exposer mon travail à l’occasion de cette manifestation. Et le département a vu les choses en grand ! Ils ont mis en place un local spécialement décoré aux couleurs de l’olympisme et dans l’esprit du sport. À l’occasion du passage de la flamme au cœur de la ville, j’ai exposé une quinzaine de tableaux représentant le mouvement dans le sport, afin de mettre en lumière une autre vision de celui-ci.
Dans cette ville d’art, avec un patrimoine d’une richesse inouïe, il y a bien sûr la volonté de prolonger son héritage culturel, mais aussi de sensibiliser les plus jeunes, notamment les établissements scolaires, à une approche plus artistique et plus culturelle des Jeux olympiques. Cette exposition mêlait photographies, peintures, archives vidéo et témoignages de différents acteurs gravitant autour de l’écosystème des Jeux, allant des archéologues aux artistes, aux sportifs, et bien sûr, en passant par Diane de Navacelle de Coubertin, descendante du baron Pierre de Coubertin.
Au cœur du centre-ville, à quelques mètres du Château Royal de Blois, le département du Loir-et-Cher, labellisé Terre de Jeux Paris 2024, a décidé d’organiser et d’aménager un lieu appelé « Le Rendez-vous des Jeux ». Mais qu’en est-il exactement ?
Du 5 mai au 23 septembre 2024, la ville a accueilli et organisé des expositions mêlant sport, culture et art, permettant ainsi à tous ses visiteurs de découvrir une autre vision des Jeux.
Ce département, riche en patrimoine historique, retrace l’histoire de notre pays, de l’Antiquité à nos jours, avec notamment l’un des châteaux les plus emblématiques du Val de Loire : le Château de Chambord. À l’image des Jeux Olympiques, le département dispose de cet héritage antique qu’il souhaite partager avec les visiteurs, venus nombreux pour découvrir la quiétude de la Loire et ses « modestes » châteaux. L’objectif est également de proposer à tous les Loir-et-Chériens une immersion au cœur des Jeux.
Le tableau le 41 déclare sa flamme
Certaines histoires méritent d’être racontées. Et l’année 2024 a été pour le département du Loir-et-Cher une année riche en émotions et en actualités sportives. En plus du passage de la flamme à Blois et dans d’autres hauts lieux du département, il y a aussi eu le Tour de France. C’est pour cette raison que j’ai réalisé pour le département une peinture dans l’esprit du tableau Paris 2024. Et le département ne manque pas de champions avec notamment dans le domaine du parathlétisme, Marie-Amélie Le Fur, multi-médaillée et originaire du département, elle fut l’une des dernières porteuses de la flamme aux Tuileries lors de l’ouverture de JO. Nous avons également vu briller Benjamin Pillerault en volley assis, Timothée Vergiat en basket 3×3. Le tableau reprend aussi les exploits du Raphaël Beaugillet et d’autres surprises. J’ai aussi représenté les plus illustres sites du département comme le site gallo-romain Tasciaca, le château de Chambord, le pont Jacques-Gabriel avec la Loire et la cathédrale de Blois.
Un grand merci à Philippe Gouet, président du conseil départemental et également à Frederic Hemery, Emmanuelle Dormoy, Laurine Dizabeaud, Arnaud Selle ainsi qu’à tous les acteurs du département pour leur confiance et pour la réalisation de ce tableau personnalisé aux couleurs de leur région. Ce fut un plaisir de participer à la fête des Jeux à vos côtés.
Et pour les plus joueurs, je vous encourage à partir à la recherche d’un « Charlie » un peu particulier bien caché et que vous pourrez découvrir sur cette peinture… Alors trouvé ?
Étape 6 : Besançon accueille le monde universitaire travaillant sur l'olympisme et le paralympisme avec mes tableaux comme décor
Pendant 4 jours, Besançon est devenue la capitale mondiale des recherches universitaires sur le sport et l’olympisme. 60 universités, 30 nationalités et des centaines de chercheurs venus des cinq continents ont présenté leurs travaux sur l’héritage des Jeux, l’inclusion, la culture olympique, les multiples aspects de la performance et ses facteurs d’influence, et bien d’autres sujets passionnants autour de l’olympisme et du paralympisme.
Je ne cache pas ma joie d’avoir été invitée à exposer mon travail à l’occasion de cette rencontre quadriennale, et d’avoir joué ce rôle de lien entre le sport et la culture, un lien que Pierre de Coubertin a toujours valorisé.
Les Jeux Olympiques sont une occasion unique de rencontre entre les peuples, et cet événement en marge des Jeux en est une preuve manifeste. Organisé par Éric Monnin, directeur du CEROU (Centre d’Études et de Recherches Olympiques Universitaires) et vice-président de l’université de Franche-Comté, cet événement a pour but de favoriser la rencontre et la coopération internationale entre les universités, le CIO et les centres de recherche olympiques.
Je suis ravie d’avoir été associée à cet événement.
Merci à Éric et à toute l’équipe de l’université de Franche-Comté pour votre invitation et ce fabuleux accueil.
Étape 7 : Tenay, exposition et fresques murales
Si je vous demandais où se situe Tenay, beaucoup parmi vous répondraient : « je ne sais pas ». Pourtant, cette petite bourgade de l’Ain, nichée dans la vallée de l’Albarine, regorge de secrets et possède un charme évident. Son environnement montagnard, sa rivière, ainsi que son patrimoine bâti et artistique sont uniques.
Alors que les JO se préparent, j’ai eu le plaisir d’être accueilli par Thomas, artiste photographe, sportif de haut niveau en para tir à l’arc et maître des lieux, pour une exposition dans sa galerie. Ce lieu chaleureux est dédié à la promotion des arts sous toutes leurs formes.
Le contexte de cette exposition est un peu particulier, marqué par les récentes inondations qui ont touché la ville et dont elle porte encore les stigmates.
Tenay & ses fresques
Déambuler dans Tenay, c’est l’assurance de découvertes surprenantes pour différentes raisons. La rivière qui traverse le village en deux crée un cadre des plus pittoresques. Mais ce sont surtout les façades ornées de fresques XXL qui donnent à la ville son véritable cachet. Véritables attractions touristiques, ces fresques sont une ode à la créativité et un moyen unique de décorer la ville.
Le parcours est jalonné de fresques variées, des plus enfantines aux plus réalistes, qui invitent à découvrir le patrimoine de Tenay. Ce parcours permet, le temps d’une petite randonnée, de créer un lien entre le paysage sauvage, l’architecture et l’art.
Un grand merci à Thomas pour son invitation et l’organisation du vernissage.
Étape 8 : La Réole, Terre de jeux 2024 m'accueille pour une expo XXL
Sur les bords de la Garonne, la petite ville de La Réole accueille une exposition XXL sur le sport. Dans le magnifique hôtel de ville, vestige d’une époque révolue, j’ai eu le plaisir d’exposer une trentaine de sports et une soixantaine de tableaux. C’est certainement la plus grande exposition que j’ai eu le plaisir d’organiser.
Il faut dire que la ville avait vu les choses en grand pour célébrer les Jeux Olympiques et Paralympiques dans ce haut-lieu du tourisme girondin.
Située au cœur du tourisme girondin, La Réole est une petite bourgade au patrimoine architectural et historique d’une richesse inouïe, une très belle découverte et un havre de paix.
Une expo organisée dans le cadre du label Terre de jeux Paris 2024.
L’ancien hôtel de ville, un lieu d’exposition hors du commun
Certains lieux imposent le respect et portent dans leurs pierres l’inspiration d’un autre temps. C’est ce que j’ai ressenti en apercevant pour la première fois cet imposant bâtiment, longtemps l’hôtel de ville de La Réole. Construit dès le XIIIe siècle, il est l’un des plus anciens de France encore intact. Érigé sous le règne du légendaire roi anglais Richard Cœur de Lion, qui portait aussi le titre de duc d’Aquitaine grâce à sa mère Aliénor d’Aquitaine, ce bâtiment se distingue par son architecture médiévale, avec ses colonnes, ses chapiteaux sculptés, et son imposante structure.
Au fil des siècles, cet édifice a évolué, devenant tour à tour une prison, un marché, et aujourd’hui une salle d’exposition, que j’ai eu l’honneur de remplir. Classé monument historique depuis 1913, il continue d’inspirer et de surprendre les visiteurs de la Réole.
Un grand merci à Bruno Marty, maire de La Réole ainsi que Bernadette Cousin, Christophe Gardner, Stéphane et toute l’équipe municipale pour votre accueil exceptionnel et votre investissement autour du sport et de la culture.
Hommage à Colette BESSON
Le 16 octobre 1968, Colette Besson, athlète olympique et médaillée, marquait l’histoire du sport français. Sa médaille fut la première pour le sprint féminin en France, bien avant celles de Marie-José Pérec. A l’occasion de cette exposition, j’ai souhaité mettre en lumière celle qu’Antoine Blondin avait surnommée « la petite fiancée de la France ». En effet, son émotion et ses larmes lors des premières notes de la Marseillaise avaient bouleversé des millions de téléspectateurs, au point de faire pleurer le général de Gaulle, comme il l’avouera plus tard.
Les Jeux Olympiques de Mexico en 1968 furent historiques à plus d’un titre. On se souvient du record à 8,90 m de Bob Beamon en saut en longueur, battu seulement des années plus tard par Mike Powell, du poing ganté et du bras levé de Tommie Smith et John Carlos lors de la remise des médailles, des exploits aériens de Fosbury avec son célèbre saut, et bien sûr de cette Française, que personne n’attendait, en larmes devant la France. Colette Besson venait de prouver que rien n’est jamais écrit, que rien n’est jamais acquis, et que tout est possible avec du travail et de la confiance en soi.
Et pour l’anecdote, Colette Besson a été professeure d’éducation physique au collège de La Réole en Gironde (aujourd’hui lycée) de 1967 à 1977. Elle a laissé en 10 ans une trace indélébile de son passage, comme en témoigne un ancien élève de l’époque : « Elle enseignait aux petites classes, puis quittait La Réole pour venir s’entraîner inlassablement dans les champs environnants.»
Et après l'effort, le réconfort, maintenant place aux JO Paris 2024 ...
Et je ne pouvais commencer autrement cette partie par merci Paris.
Merci pour ces moments partagés !
Merci pour ces rencontres inoubliables !
Merci pour toutes ces émotions !
Merci de nous avoir fait rêver !
Merci de nous avoir fait vibrer !
Et merci à tous les athlètes olympiques et paralympiques pour ces fabuleux moments …..
Et rendez-vous en 2030 pour les JO d’hiver
Rugby à VII
Triathlon
Judo
Parajudo
Parathlétisme
Le club FRANCE
Et comme le disait Éric Monnin, il y a quelques semaines, les Jeux permettent de se rencontrer.
Pour ma part, je garderai un souvenir exceptionnel de ces jours passés à Paris pour célébrer le sport et soutenir nos athlètes. Et des moments forts, il y en a eu, des médailles, des rencontres comme celle avec Tony Estanguet, des retrouvailles avec Mélina Robert-Michon, que j’avais rencontrée à Grenoble lors d’un colloque mêlant art et sport de haut niveau en 2018. J’ai également passé quelques jours avec Guillaume Renoud, alias Ramsès, de l’association 24 pour tous et tous pour un ainsi que son équipe et Samir Azzimani, dont le film le rêve de Samir vient d’être primé.
Je suis venue soutenir Sandrine Martinet dans sa nouvelle quête d’une médaille olympique, une superbe journée, ponctuée par une médaille d’argent et une chaleureuse accolade lors de la soirée au Club France.
Toutes ces rencontres, entre fans de sport venus du monde entier lors des Jeux Olympiques ou Paralympiques, créent une atmosphère unique. La France qui fait la fête, La france unie et joyeuse derrière ses athlètes et ses couleurs. Ce sont des images qui font chauds au cœur avec certes un peu de chauvinisme, bien sûr, mais toujours dans la bonne humeur et le respect. C’est ça, la magie des Jeux : un moment exceptionnel, intemporel, qui marque une vie à jamais.
Après Paris 2024 , RDV maintenant à Los Angeles ….