L’art abstrait fascine autant qu’il intimide. Affranchi des contraintes du figuratif, il pousse l’artiste ou l’observateur à explorer des territoires inconnus, à libérer sa créativité, à interpréter le sens ( et y-en-a-t-il toujours un… chacun répondra à cette interrogation), et à embrasser pleinement la spontanéité. C’est précisément cette aventure artistique au cœur de l’abstraction que je vous propose d’explorer aux côtés de mes stagiaires — une immersion douce pour certains, un véritable tremplin vers l’imaginaire pour d’autres.
Ce stage proposait donc de découvrir l’un des aspects essentiels de l’abstraction : la transposition du monde réel — un paysage, une maison, un arbre — en un ou plusieurs éléments abstraits.
Observation, lâcher-prise et créativité sont les fondamentaux pour réussir en art abstrait. Un art qui ne repose pas uniquement sur la capacité à bien dessiner, mais surtout sur celle d’imaginer… ou de réimaginer.
Ce stage proposait donc de découvrir l’un des aspects essentiels de l’abstraction : la transposition du monde réel — un paysage, une maison, un arbre — en un ou plusieurs éléments abstraits.
Observation, lâcher-prise et créativité sont les fondamentaux pour réussir en art abstrait. Un art qui ne repose pas uniquement sur la capacité à bien dessiner, mais surtout sur celle d’imaginer… ou de réimaginer.
Choisir une gamme réduite de couleurs aide à maintenir une harmonie et à stimuler la créativité en évitant la dispersion visuelle.
Remplacer le traditionnel pinceau par des spatules, des fourchettes, des éponges, du bulle ou même du fil de laine ouvre de nouvelles voies pour travailler les textures et générer des effets inattendus.
L’abstraction gagne en profondeur et en richesse lorsque vous superposez des couches fines et transparentes, permettant aux premières touches de couleur de dialoguer subtilement avec celles qui les suivent.
Un stage pour sortir de sa zone de confort
Le passage à l’abstraction n’est pas toujours évident, surtout lorsqu’on est habitué à une représentation plus figurative, plus maitrisée. Pourtant, en acceptant de lâcher prise et d’abandonner le confort du « pseudo figuratif », chaque participant du stage a pu libérer sa créativité et développer une spontanéité nouvelle. Notre esprit est fertile, complexe et bloque parfois notre créativité. L’idée farfelue (ou pas …) derrière ce stage est de permettre de libérer les pinceaux, de tenter, de tester, de se tromper, d’innover, de laisser parler sa spontanéité en libérant le geste. Cette démarche, certes déstabilisante au début, a permis à chacun de repousser ses limites, de redécouvrir le plaisir pur de créer, et de s’ouvrir à de nouvelles perspectives artistiques et ….. peut être un authentique voyage intérieur.
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Encore une belle journée de partage autour des couleurs de nos tempéraments respectifs et de nos papilles.
Merci Lucie
Bises